ACSE on LINE 3/5 2010

ACSE on LINE 3/5  2010
scuola

martedì 27 luglio 2010

Chi nasce in Italia non può essere apolide. a.3 n°18

Cinquanta firmatari per una riforma presentata alla Camera
Immigrati, proposta bipartisan per una nuova legge sulla cittadinanza
Il Carroccio rifiuta di sottoscrivere
Modificare la legge 5 febbraio 1992 per permettere agli immigrati di seconda generazione di diventare cittadini italiani a tutti gli effetti. Una proposta bipartisan, sottoscritta da cinquanta deputati di tutti gli schieramenti politici ad eccezione del Carroccio, fondata sullo jus soli temperato, criterio secondo cui è più importante la nascita in Italia più che la stabilità del nucleo familiare. Verrebbe così abbandonando lo jus sanguinis.
Articoli Collegati
• Immigrati, tra discriminazione e ricongiungimenti familiari
Il capogruppo del Partito della Libertà in commissione Cultura della Camera Fabio Granata, e il deputato del Pd Andrea Sarubbi sono i promotori, assieme ad altri 50 firmatari, di un testo per far ottenere la cittadinanza agli stranieri dopo cinque anni di residenza. Con la riforma diventerebbe italiano lo straniero maggiorenne che soggiorna in Italia da 5 anni, che supera un test di integrazione civica e linguistica e che presta giuramento vincolante alla Costituzione. Diventa inoltre italiano chi è nato da genitore soggiornante in Italia da almeno 5 anni, il minore straniero che completi con successo un ciclo di studi e lo straniero che sia sposato con un cittadino italiano da almeno 2 anni. Se la proposta riuscisse a diventare legge i criteri per fare domanda non sarebbero più meramente burocratici e quantitativi (per ora bisogna essere residenti in Italia da dieci anni), ma qualitativi. Cardine della riforma lo jus soli temperato, la nascita in Italia. Si vuole quindi favorire l'integrazione reale dello straniero in Italia.

Alla conferenza stampa alla Camera era presente la nazionale Under 15 di cricket, i giovani che hanno regalato la coppa europea di cricket all'Italia. Della squadra solo tre sono italiani: gli altri sono bengalesi, indiani, cingalesi, inglesi e marocchini. Benché nati e cresciuti nel nostro Paese, sono ancora in attesa della cittadinanza. I giovani sportivi sono diventati il simbolo della proposta di legge, visto che il Presidente della Camera li aveva portati come esempio della faragginosità dell'acquisizione della cittadinanza. Gianfranco Fini al 42° convegno delle Acli di Perugia aveva dichiarato: «I campioni juniores del cricket, che vivono qui, vanno a scuola qui e parlano il dialetto sono molto più italiani rispetto ai nipoti di nostri immigrati in Argentina o in Brasile».

«Bisogna governare i processi, anziché averne paura - sottolinea l'onorevole Granata -. È una proposta che fa perdere consensi? Ma le leggi non si fanno per avere consensi elettorali. Il percorso non è semplice, ci sono difficoltà politiche, ma si deve passare da una cittadinanza burocratica ad una vera richiesta di integrazione». L'onorevole Sarubbi, anch'egli promotore, definisce la situazione interna alla maggioranza vista dall'opposizione: «Per i numeri in Parlamento c'è bisogno del Pdl: è importante che si discuta con il partito di maggioranza relativa, anche con le ali più vicine culturalmente alla Lega. Solo così potremo allargare il consenso. La chiave politica adesso è vedere cosa accadrà nel Pdl: dimostreranno di essere un partito in grado di governare il Paese, affidabile e soprattutto indipendente, oppure dovranno cedere a logiche non della politica con la P maiuscola, ma della quotidianità?».

Il nodo da sciogliere è infatti interno al Pdl: la Lega Nord è fermamente contraria a questa proposta di integrazione. «La Lega - precisa Granata - ha accolto la proposta con una forma pregiudiziale di contrarietà, anche legittima perché hanno una loro impostazione. Nonostante la reazione non favorevole, su alcuni aspetti, come i termini per la cittadinanza legati a un filtro, si può dialogare anche con la Lega. Anche se la Lega finora ha accolto la nostra proposta di legge con un “no” pregiudiziale, il Pdl andrà avanti lo stesso». «Sono certo che il Pdl aderirà al gran completo a questo testo - conclude Sarubbi - anche perché vorrà dimostrare che ragiona con la propria testa e che è un partito diverso dalla Lega. Vorrà far capire che è indipendente dal Carroccio. Altrimenti perché non indossare anche loro una camicia verde?».
(valentina venturi - video: valerio perogio)2009-09-23 17:05:06
Fonte foto: ami

6 commenti:

  1. Est-il raisonnable au troisième millénaire, de parler encore des « sans patrie » ? D’ associer toujours au droit de nationalité un lien sanguin ou même culturel ?
    1.Face à l’ évolution efficace de la conscience de l’ humanité et à la proclamation des idées égalitaires et de fraternités entre les différents peuples, évoquer des « critères limitatifs innés » dans l’octroi de certains droits jugés fondamentaux pour la stabilité personnelle sur un territoire, semble contrarier la mouvance planétaire orientée vers la communauté et l’ interdépendance individuelle. Les peuples après la seconde guerre mondiale ont manifesté avec beaucoup de conviction la volonté de considérer autrement les différences. L’ Allemagne Nazie qui avait officiellement failli dans ce domaine est aujourd’ hui entrain de devenir plutôt un model dans la production et l’ exportation des civilités communautaires.

    RispondiElimina
  2. Est-il raisonnable au troisième millénaire, de parler encore des « sans patrie » ? D’ associer toujours au droit de nationalité un lien sanguin ou même culturel ?
    1.Face à l’ évolution efficace de la conscience de l’ humanité et à la proclamation des idées égalitaires et de fraternités entre les différents peuples, évoquer des « critères limitatifs innés » dans l’octroi de certains droits jugés fondamentaux pour la stabilité personnelle sur un territoire, semble contrarier la mouvance planétaire orientée vers la communauté et l’ interdépendance individuelle. Les peuples après la seconde guerre mondiale ont manifesté avec beaucoup de conviction la volonté de considérer autrement les différences. L’ Allemagne Nazie qui avait officiellement failli dans ce domaine est aujourd’ hui entrain de devenir plutôt un model dans la production et l’ exportation des civilités communautaires.

    RispondiElimina
  3. 2. Les différences ne devraient plus se contraster, au contraire, elles devraient se juxtaposer et s’ harmoniser. Ainsi, au lieu d’ introniser des peuples ayant plus de droits sur d’ autres, l’ idée de renforcer la « mosaïque des peuples » dans le respect strict du principe de l’ égalité et au sein d’une communauté inclusive, où tous les humains auraient les mêmes opportunités sans distinction basée sur les « liens de sang » ou de géographie est visiblement un facteur pour la paix et le développement durable de l’ espèce humaine. Ce rêve est une bataille encore à gagner, qui vaut toutefois le coût. Il ne peut devenir réalité que si ces remparts typiquement sectaires, qui emprisonnent encore la liberté et qui, refont incessamment surface de nos jours, sont systématiquement abattus.
    3.Sur quel criterium fonder le droit national ? Parler des « apatrides » ou des « sans nations » insinue l’ attitude exclusive des nations existantes, apte à freiner tous les efforts déployés jusqu’ ici par les hommes de cœur et de science pour poser les bases d’ une communauté internationale qui préserve l’ unité dans la diversité. Ces efforts ne peuvent fleurir que si localement ils rencontrent une opinion publique réceptive. Se pose alors le problème de la définition de la nation dont dépend la formation de cette opinion publique. Beaucoup persistent à affirmer avec assurance donc que ce droit national dépend de la race, de la langue, de la religion, la géographie, etc.

    RispondiElimina
  4. 4. Alors qu’ intellectuels et hommes politiques français et allemands se disputaient autour de l’ idée de nation, la langue d’ Ernest Renan se délia et réfuta la « conception ethnographique de l’ unité nationale et du génie » allemands et lui oppose une « représentation historique, spirituelle et communautaire où domine le principe de l’ adhésion volontaire » qui marque le désir clairement affirmé d’ une communauté de citoyens de vivre ensemble. Pour lui, la nation est un » plébiscite de tous les jours » comme l’existence de l’ individus est une affirmation perpétuelle de vie.
    5.La définition actuelle du mot « nation » est le fruit d’une longue évolution qui n’aboutit qu’au XIXe siècle, bien que le terme ait existé antérieurement. Depuis le XIXème Siècle donc, la nation est définie selon les auteurs français comme « Un grand peuple habitant une même étendue de terre renfermée en certaines limites ou même sous une certaine domination » , mais le terme n’a pas encore sa connotation idéologique d’attachement à un ensemble géographique, d’enracinement dans un terroir. Plus tard en 1765, la définition de la nation affiche toujours ce caractère ouvert, plus inclusif que ségrégationniste. « Une quantité considérable de peuples qui habite une certaine étendue de pays, renfermée dans de certaines limites, qui obéit au même gouvernement.»

    RispondiElimina
  5. 6. Parler encore au millénaire de l’ explosion planétaire dans tous les domaines des « apatrides » ( sans patrie) ferait penser plutôt à une régression des facultés mentales de l’ humanité, qui quelques siècles plus tôt avait un sens de communauté plus élargie. Les gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent; La « volonté de vivre ensemble » et de partager le meilleur et le pire avec le peuple d’ accueil devrait être le principal et l’ unique facteur à poser à base de l’ octroi du droit de nationalité.

    FLAVIEN N.

    RispondiElimina
  6. Pour une personne qui comme moi vit en Italie depuis 20 ans,c'est pas avoir la citoyentè qui me changerai la vie.A present je peux dire que je suis et je serais etrangère sur n'importe quel terre.Ce que je souhaiterai ce serait avoir la possibilitè d'un travail meilleur,de ne plus etre regarder comme une voleuse du pain de la bouche des italiens,alors que je fais la badante ou bonne d'enfant,ce qui veut dire TOUS faire dans une maison pour une paye derisoire et en voyant les jeunes de la seconde generation ou comme ma fille qui a grandit ici,je pense pas que c'est la citoyentè qui changeras sa vie.On continueras a regarder notre couleur de peau.Combien des jeunes noir vous avez vue dans les restaurant ou bar dans le centre historique ou dans les centre commerciale?Et ne parlons pas des traveaux "mieux" placer...Je voudrais qu'on fasse une loi pour les personnes qui ont payer l'Inps peuvent rentrer chez eux quand ils veulent et que l'Inps decide a leur donner une parti de l'argent verser.Bien souvent on vient ici par besoin urgent,pour quelque annèe,le temps de faire une maison,envoyer un fils a l'universitè ect et on se retrouve bloquer ici,moi j'appelle ça etre tenue "prisonier" avec des chaine invisible.Parce que comment retourner au Pays sans une pension, après avoir fait la servante pendant des annèe,alors on se retrouve a devoir rester en attendant la fameuse pension de l'Inps pour survivre dans la viellesse.Je pense qu'on ne devrait pas "obbliger" une personne a faire la servante jusqu'a 65 ans.Je pourrais continuer comme ça pendant longtemps...Alors je pense que c'est mieux de commencer des battaille en demandant aux emigrer quel sont leur VRAI besoin.La citoyentè je peux m'en passer.Mais on a expliquer aux emigrer qui revent tant la citoyentè qu'ils doivent renoncer a la leur en acceptant celle Italiana???

    RispondiElimina